Rapport d’engagement 2024-2025

Introduction

FRANCE

LA LGV SEA, CAS D’ÉCOLE EN NOUVELLE-AQUITAINE

En France, l’exemple de la LGV SEA (Ligne Grande Vitesse Sud Europe Atlantique), construite par VINCI, opérée par VINCI Railways à travers ses filiales LISEA et MESEA, illustre parfaitement la puissance du modèle de la concession au service de la mobilité durable. Au cœur de multiples transformations positives, la ligne a permis, en reliant Bordeaux à Paris en 2 heures, de renforcer l’attractivité économique des territoires desservis. Signe fort de son engagement pour développer la mobilité bas carbone dans l’Hexagone, grâce à une collaboration réussie entre public et privé, VINCI Concessions a renforcé sa participation au capital de LISEA en 2024, la société gestionnaire de la ligne, qui supporte l’intégralité des risques : financement, construction, trafic, maintenance, exploitation et sécurité, durant les 50 ans de la concession. Dans un contexte d’ouverture à la concurrence, LISEA facilite l’entrée de nouveaux acteurs dans le monde du transport ferroviaire, avec la construction d’un site de maintenance et de remisage de trains à Marcheprime (Gironde), dont le chantier démarrera en 2025. Un premier opérateur ferroviaire, la compagnie Proxima, a déjà signé un plan de transport et un bail avec LISEA afin d’utiliser ce site, dès 2028, pour sa future flotte de trains.

  • 320 KM de ligne à grande vitesse
  • + DE 140 MILLIONS de voyageurs transportés depuis 2017
  • 200 EMPLOIS créés par l’implantation du site de remisage et de maintenance de Marcheprime

FRANCE

L’INSERTION AU CŒUR DES CHANTIERS

En 2020, VINCI Autoroutes a signé avec la préfecture du Var, la Métropole Toulon Provence Méditerranée et sa Maison de l’Emploi, ainsi que France Travail Var, une convention de partenariat autour du chantier de l’élargissement de l’A57 à l’est de Toulon. L’objectif : promouvoir l’emploi et favoriser l’inclusion. À fin décembre 2024, plus de 152 500 heures de travail (soit 285 % d’atteinte de l’objectif initial) et près de 5 000 heures de formation avaient été comptabilisées au titre de l’insertion. Depuis le début du chantier, plus de 200 contrats ont été signés, dont plus de 90 % par des personnes du territoire toulonnais. 30 % d’entre elles sont issues des quartiers prioritaires de la ville. À Cadarache, le chantier de l’A51 a permis de créer 11 emplois, avec 64 569 heures travaillées, dont 4 266 heures d’insertion professionnelle, puis d’embaucher en CDI un ingénieur travaux et un coffreur.